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  • Un fruit à boycotter?

    La noix de cajou, très tendance, certes, laisse pourtant un arrière-goût amer quand on sait dans quelles terribles conditions travaillent les personnes qui les décortiquent.

    Regarde cette vidéo (6 minutes environ) et réponds aux questions suivantes :

    1. Quelles sont les qualités de la noix de cajou?
    2. Comment s'appelle l'arbre qui la produit?
    3. Quels sont les principaux clients de l'usine montrée dans le reportage?
    4. Combien sont payées ces ouvrières?
    5. Que contient la coque de la noix de cajou?
    6. À qui les femmes de la coopérative revendent-elles leur production?
    7. Quels effets nocifs provoque le décorticage?
    8. Pourquoi les ouvrières ne protègent-elles pas leurs mains?
    9. Le fruit en lui-même est-il toxique?
    10. Les ouvrières en mangent-elles?

    Les réponses sont ci-dessous.

    1. Quelles sont les qualités de la noix de cajou? Bonne pour la santé, cette star des apéros des Français est riche en vitamine K et en minéraux.
    2. Comment s'appelle l'arbre qui la produit? L'anacardier.
    3. Quels sont les principaux clients de l'usine montrée dans le reportage? L'Espagne, la Grèce, l'Allemagne, l'Angleterre et la France.
    4. Combien sont payées ces ouvrières? En fonction de leur productivité, entre 3 et 6 euros par jour; elles n'ont pas de salaire fixe.
    5. Que contient la coque de la noix de cajou? À l'intérieur de la coque, il y a des produits extrêmement toxiques qui brûlent la peau.
    6. À qui les femmes de la coopérative revendent-elles leur production? À des grossistes.
    7. Quels effets nocifs provoque le décorticage? Des blessures extrêmement douloureuses; la nuit, leurs yeux les brûlent, elles sont fiévreuses; leur vue ne cesse de baisser.
    8. Pourquoi les ouvrières ne protègent-elles pas leurs mains? Les gants les gênent et se déchirent.
    9. Le fruit en lui-même est-il toxique? Non, la noix de cajou ne contient pas d'acide.
    10. Les ouvrières en mangent-elles? Non, car elles ne peuvent pas s'en offrir.

     

  • Héroïnes du quotidien durable contre les mégots

    Soyons positifs : notre planète fourmille de personnes qui prennent des initiatives admirables pour préserver notre environnement. Voici deux portraits, l'un en français et l'autre en espagnol, afin de soutenir leur action, mais aussi pour te donner envie d'en faire autant. Nous pouvons tous être des héros du quotidien durable!

     Si tu veux voir Lucie qui ramasse des mégots à Barcelone, clique sur ce lien :

    https://www.facebook.com/nmcsbarcelona/videos/2196244240464960/

    Si tu veux en savoir plus sur l'association de Rosa à Burgos, clique sur ce lien :

    https://m.youtube.com/watch?v=_C403pgGmXo

    Bravo les filles! Un petit geste avec de grands effets. ;D

     


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  • Obsèques écologiques

    Regarde cette vidéo (2'15 minutes) de France 3 et réponds à ces questions :

    1. Quelles sont les deux seules pratiques funéraires légales en France?
    2. Quels sont les produits de ces pompes funèbres lilloises?
    3. De quels éléments pollueurs sont-ils dépourvus?
    4. Quel terme utilise Sylvain Lefèvre pour dire que les funérailles connaissent un renouveau?
    5. Comment sont les avis sur ces funérailles écologiques?
    6. Quelle expression utilise le monsieur interrogé dans le cimetière pour dire que c'est quelque chose qui donne la touche finale à l'ensemble?
    7. Qu'est-ce que l'humusation?
    8. Quelle est la taille de la butte qui recouvre le défunt?
    9. Qu'obtient-on au bout d'un an?
    10. Combien de Co2 économiserait-on ainsi?

    Les réponses sont ci-dessous.

     

    1. Quelles sont les deux seules pratiques funéraires légales en France? Inhumer ou brûler les corps, donc l'inhumation et la crémation.
    2. Quels sont les produits de ces pompes funèbres lilloises? Des cercueils et des urnes en bois brut.
    3. De quels éléments pollueurs sont-ils dépourvus? Ils n'ont pas de teinte, ni de vernis, et aucune poignée en métal ou en plastique.
    4. Quels termes utilise Sylvain Lefèvre pour dire que les funérailles connaissent un renouveau? Un nouveau regain.
    5. Comment sont les avis sur ces funérailles écologiques? Ils sont partagés, donc très divers.
    6. Quelle expression utilise le monsieur interrogé dans le cimetière pour dire que c'est quelque chose qui donne la touche finale à l'ensemble? C'est la cerise sur le gâteau.
    7. Qu'est-ce que l'humusation? La transformation du corps d'un défunt en un compost.
    8. Quelle est la taille de la butte qui recouvre le défunt? Elle est de 3 mètres cubes.
    9. Qu'obtient-on au bout d'un an? Un terrain sain et fertile.
    10. Combien de Co2 économiserait-on ainsi? Une tonne par personne.

  • Le masque qui tue

    Il est clair que le port du masque jetable a fait grimper la quantité colossale de déchets dans le monde et, par conséquent, représente un danger immédiat pour la faune, en particulier en milieu urbain. C'est pourquoi il faut impérativement le jeter dans une poubelle après son usage. Mais il faut aussi penser à couper au préalable les élastiques afin d'éviter, par exemple, qu'ils entravent les pattes des oiseaux.

    (8rB remercie María)

    Pour en savoir plus, clique sur ce lien pour lire un article intéressant.

    https://www.30millionsdamis.fr/actualites/article/19584-des-oiseaux-pieges-et-tues-a-cause-de-nos-masques-jetables-reagissons/

    Afin de rendre cette lecture plus fructueuse, cherches-y les équivalents des termes suivants, en suivant l'ordre du texte :

    1. une sentence
    2. au tout dernier moment
    3. difficilement
    4. libéré
    5. un accident
    6. palpable
    7. fortement augmenter
    8. et aussi

    Les réponses se trouvent ci-dessous.

    Voici les réponses :

    1. une sentence : un arrêt
    2. au tout dernier moment : in extremis
    3. difficilement : péniblement
    4. libéré : relâché
    5. un accident : une mésaventure
    6. palpable : perceptible
    7. fortement augmenter : exploser
    8. et aussi : y compris

     


     

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  • Le mégot pollueur

    Un message frappant en 15 secondes!

     

    Pour en savoir plus en espagnol, visite le mur de Facebook de Rosa "No más colillas en el suelo – Burgos"

    https://www.facebook.com/pages/category/Cause/No-m%C3%A1s-colillas-en-el-suelo-Burgos-1913311402080601/

    Pour en savoir plus en français sur le thème du mégot pollueur:

    https://www.surfrider.eu/missions-environnement-education/proteger-oceans-mers-pollution/dechets-aquatiques/dechet-megot/

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  • Aujourd'hui, ne pas être écolo, c'est être ignorant

     

     

    Regarde cette vidéo (12 minutes) de France 24 et réponds à ces questions :

    1. Comment peut-on identifier chaque lion?
    2. À quel âge Yann Arthus-Bertrand a-t-il eu un déclic pour l'écologie?
    3. Au festival de photo de La Gacilly, comment est considérée la thématique de l'écologie?
    4. Des photos montrent les dégâts de l'extraction d'une résine en Ukraine, laquelle?
    5. Quelle est la conclusion de Guillaume Herbaut?
    6. Quels sont les deux termes employés par le journaliste pour définir l'attitude des humains face à l'apocalypse qu'ils ont eux-mêmes provoquée?
    7. Quel aspect de la planète veut montrer Franck Seguin?
    8. Comment se définit Yann Arthus-Bertrand?
    9. Quelle expression utilise la présentatrice pour dire que Greta veut faire changer les choses?
    10. Où se trouve la Fondation GoodPlanet de Yann Arthus-Bertrand?

    Les réponses sont ci-dessous.

    Voici les réponses :

    1. Comment peut-on identifier chaque lion? En comptant leurs moustaches!
    2. À quel âge Yann Arthus-Bertrand a-t-il eu un déclic pour l'écologie? À 20 ans.
    3. Au festival de photo de La Gacilly, comment est considérée la thématique de l'écologie? Incontournable.
    4. Des photos montrent les dégâts de l'extraction d'une résine en Ukraine, laquelle? L'ambre.
    5. Quelle est la conclusion de Guillaume Herbaut? Lutter contre la corruption, c'est lutter pour l'écologie.
    6. Quels sont les deux termes employés par le journaliste pour définir l'attitude des humains face à l'apocalypse qu'ils ont eux-mêmes provoquée? Aveuglement et déni.
    7. Quel aspect de la planète veut montrer Franck Seguin? Le côté onirique et poétique.
    8. Comment se définit Yann Arthus-Bertrand? Un optimiste extrêmement inquiet.
    9. Quelle expression utilise la présentatrice pour dire que Greta veut faire changer les choses? Faire bouger les lignes.
    10. Où se trouve la Fondation GoodPlanet de Yann Arthus-Bertrand? Au Bois de Boulogne.

     

  • Interview de Vanessa

    Il ne fait aucun doute que la charmante Vanessa Baldy va jusqu'au bout de ses convictions. Avec son local Cúrcuma, elle a relevé un défi fort louable : offrir une alimentation saine et naturelle, à base de produits bios, frais, non-transformés, cuisinés sur place. C'est bien plus qu'un café-restaurant! Il tient du lieu de retrouvailles, de l'espace de coworking, de la boutique bio et du festin des papilles. Rien que ça! Vanessa bichonne donc notre alimentation tout en favorisant la convivialité et les échanges.

    En exclusivité pour 8rB, elle nous a accordé un peu de son temps précieux pour répondre à quelques questions.

    • Vanessa, nous sommes curieux d'en savoir un peu plus sur votre parcours. Cela fait longtemps que vous vivez en Espagne?
    • Ça va faire 18 ans maintenant.
    • Avez-vous toujours vécu à Burgos?
    • Non, j'ai fait mon Erasmus à Cordoue et des stages à Murcie. À Burgos, j'y suis venue la première fois dans le cadre d'un stage pour mon BTS de commerce international. C'est plus tard, quand j'y suis revenue lors d'un énième stage pour mon école de commerce, que j'ai connu mon mari et donc je m'y suis installée. Au départ, j'avais pensé partir au Canada, mais y trouver un stage était très compliqué alors ça s'est goupillé comme ça. 
    • Quelle a été votre première impression de Burgos?
    • Bon, tout le monde dit que les gens ici sont distants et froids. Oui, peut-être au premier abord, mais si je compare avec les Andalous, très ouverts, ça oui… Mais c'est une autre histoire quand on a besoin de quelqu'un. Ici, quand j'ai eu besoin d'un coup de main, aucun souci. C'est vrai qu'il y a de tout partout. J'ai eu beaucoup de chance car, les personnes qui m'ont accueillie ici ont été très sympas, vraiment à mon écoute.
    • Vous trouvez que la ville a évolué?
    • Oui, elle a beaucoup changé. J'aime vraiment cette ville. Quand je suis arrivée, je trouvais que le centre était moins soigné. Maintenant, il y a plus de rues piétonnes. C'est une jolie ville, propre, agréable à vivre. Tout est à cinq minutes. En plus, ce n'est pas loin de la mer ni de la montagne. Et c'est près de la France! Moi, je viens d'une ville plus petite, Quimper, en Bretagne, alors je n'aime pas trop les grandes villes.
    • Comment vous est venue l'idée d'ouvrir ce restaurant végétarien et végane?
    • Comme je l'ai dit, j'ai fait des études de commerce international. Ça pouvait m'amener à travailler dans le siège de grandes entreprises, donc à Madrid. Or, je ne voulais pas aller là-bas. J'ai travaillé plusieurs années comme employée dans différentes boîtes, mais je m'ennuyais d'autant plus que je ne voyais pas de perspectives d'évolution. J'avais envie de concilier mes loisirs avec mon ambition professionnelle. En fait, j'ai toujours aimé cuisiner et aussi soigner mon alimentation. Bon, Burgos est très carnivore, mais il y a quand même une demande de cuisine végétarienne. Il n'y avait que deux établissements au moment de lancer mon projet, il y a un peu plus d'un an, donc je me suis dit que je pourrais ouvrir mon propre local. Mon but est d'offrir quelque chose de sain et délicieux à la fois, fait avec beaucoup d'amour. Je voudrais apporter à la population une autre manière de s'alimenter, un autre mode de vie, plus respectueux et plus sain.
    • Quelles sont vos sources d'inspiration pour élaborer vos bons petits plats?
    • Je n'ai pas de style de cuisine préféré. Mon inspiration est totalement cosmopolite! Par exemple, au menu il y a des quiches, mais ce ne sont pas des quiches françaises traditionnelles. Ce sont plutôt des tartes salées, sans œufs ni fromage ni gluten. Je les appelle "quiches" car c'est un nom que les gens connaissent. On utilise des œufs uniquement dans certaines pâtisseries et le lait bio pour le café.
    • Une alimentation saine est-elle obligatoirement sans gluten?
    • Non, pas forcément! Ma cuisine est sans gluten puisque j'emploie des céréales comme l'avoine, le riz, el quinoa ou encore le millet. Mais c'est plus pour répondre à une demande qu'autre chose. En revanche, il y a beaucoup de fruits secs dans ma cuisine car ils apportent non seulement des nutriments importants, mais aussi de l'onctuosité aux plats.
    • Êtes-vous locavore?
    • Même si j'utilise des produits de saison, des produits bios, je ne peux pas me fournir auprès de potagers urbains locaux. Ce n'est pas faute de vouloir, mais dans la mesure où j'ai besoin de beaucoup d'ingrédients différents, il me faudrait recourir à plusieurs fournisseurs et ce serait ingérable pour moi. J'ai deux employées, mais je gère tout toute seule. Je ne m'occupe pas seulement de la cuisine, il y a aussi les commandes, la gestion des stocks, la boutique et plein d'idées d'activités conviviales. Par exemple, ce mois-ci, un sportif a donné une conférence. Un samedi par mois, on propose un petit déjeuner musical avec un DJ qui mixe la musique en direct. En décembre, j'organiserai un échange de jouets pour les enfants défavorisés.
    • En effet, la vocation sociale de Cúrcuma saute aux yeux. Une dernière question, Vanessa. Êtes-vous plutôt écolo, bobo ou je-m'en-foutiste?
    • Écolo, quelle question! Je considère qu'il faut analyser la situation dans laquelle on vit, remettre en question l'industrie dont on subit plein de trucs comme le marketing, la surconsommation, la surproduction, l'impact sur notre planète, et j'en passe. Il faut être plus conséquent et cohérent. Même si c'est compliqué car on est tout le temps pressés. Même si consommer des produits d'origine écologique certifiés, c'est plus cher, notamment parce que les labels coûtent cher. Mais je suis convaincue que l'on doit faire le maximum, chacun comme il peut. Par exemple, fermer le robinet pendant qu'on se brosse les dents ou qu'on se savonne dans la douche. Voilà, c'est tout un tas de bonnes habitudes qui, une fois mises en place, même si on a du mal, sont très effectives. C'est bon pour notre économie familiale et c'est bon pour la planète. Regardez, ici, j'ai différents conteneurs pour faire le tri des déchets. C'est comme à la maison, mais en plus grand!

    Pour en savoir plus :

    https://curcumagreenfood.com/#inicio


  • Objectif zéro plastique ?

    Comment réduire tes déchets en plastique et en métal? Voilà la question sur laquelle on aimerait que tu réfléchisses quelques minutes. Fais une liste de tes actions concrètes. Ensuite, compare-la avec les conseils pratiques proposés ci-dessous.

    Certains militants écolos prônent le zéro plastique. Voilà un idéal tout à fait louable, mais dans la pratique, c'est une autre paire de manches! Dans ce billet, on va seulement proposer une liste non exhaustive de conseils pratiques pour réduire ces types de résidus très polluants.

    Comment réduire nos déchets en plastique?

    D'une manière générale, il est recommandé de renoncer à tous les objets en plastique à usage unique!

    Dans la cuisine :

    • faire ses courses avec des cabas réutilisables
    • privilégier les petits commerces spécialisés pour acheter en vrac, sans emballage en plastique (le pain chez le boulanger, les fruits et légumes chez le primeur, etc.)
    • renoncer aux aliments vendus sous vide
    • choisir des produits avec un emballage en carton (comme le proposent certaines marques de pâtes, par exemple) ou en verre (mais le choix en yaourts, par exemple, est très réduit et bien plus cher!)
    • infuser le thé dans une boule réutilisable en inox au lieu des sachets
    • emporter ses propres sachets en tissu (donc lavables) afin de peser les fruits et légumes au supermarché
    • boire de l'eau du robinet (non aux boissons en bouteilles en plastique); si elle a un drôle de goût, un filtre de charbon pourrait régler le problème
    • emporter de l'eau du robinet dans une gourde dans ses déplacements et non dans une bouteille en plastique
    • bannir les assiettes et les couverts jetables (en se faisant plaisir avec une vaisselle en belle faïence!)
    • préférer les ustensiles de cuisine en bois à ceux en plastique
    • acheter les produits ménagers en vrac ou les fabriquer soi-même (notamment à base de vinaigre d'alcool, ce n'est pas compliqué et c'est bon marché)
    • utiliser des éponges en fibres naturelles
    • fabriquer des éponges "tawashi" (cf. plus bas) pour recycler chaussettes et collants
    • remplacer les gants en plastique par ceux biodégradables

    Dans la salle de bains :

    • bannir les lingettes jetables pour nettoyer les sanitaires
    • opter pour les cotons-tiges réutilisables (en silicone, par exemple)
    • avoir recours à des serviettes hygiéniques lavables en tissu
    • remplacer les couches jetables pour bébé par des celles lavables en tissu (ça, c'est du vrai militantisme!)
    • défendre la beauté au naturel en renonçant au maquillage (trop radical, non?)
    • se démaquiller avec des lingettes lavables en tissu
    • limiter les différents cosmétiques (et la crème antirides? Superflue, voyons!)
    • utiliser des versions solides du savon, du shampoing et autres soins capillaires (non aux flacons en plastique)
    • renoncer aux bigoudis (ça existe encore?)
    • opter pour une brosse à dents en bambou (bof)
    • réduire le plus possible la dose de dentifrice (c'est le brossage qui compte, pas le produit)
    • remplacer le tube de dentifrice par une petite boîte avec une pâte dentifrice faite maison (encore faut-il s'y habituer…)
    • renoncer aux lentilles jetables (zut, alors!)
    • préférer les pinces à linge en bois à celles en plastique

    Dans les placards :

    • choisir des vêtements en fibres naturelles (non aux tissus synthétiques)
    • opter pour des accessoires en matériaux naturels (non aux bijoux fantaisie en plastique)
    • remplacer les boules industrielles antimites (enveloppées dans du plastique) par des produits naturels (sachet en tissu de lavande, clou de girofle, marron…)

    D'une manière générale :

    • utiliser des crayons au lieu des stylos et des surligneurs
    • employer des trombones et des punaises (car réutilisables) au lieu du scotch

    Comment réduire nos déchets en métal?

    Dans la cuisine :

    • privilégier les produits frais (non aux boîtes de conserves, même si c'est dur de renoncer aux sardines à l'huile!)
    • emballer son sandwich dans un tissu imbibé de cire d'abeille à la place de la feuille d'aluminium
    • boire de l'eau du robinet (non aux boissons en canettes)
    • opter pour la cafetière italienne (non aux machines à café à dosettes ou à capsules)

    Dans la salle de bains :

    • ne pas se raser (non aux lames de rasoir jetables; donc on revient au rasoir à affûter comme au XIXème siècle?)
    • garder ses poils, que l'on soit un homme ou une femme (pourquoi pas?)

    (8rB remercie María, Lourdes et Maripaz)

    Voici un tuto pour fabriquer une éponge tawashi. L'idée est excellente pour recycler des chaussettes, mais dans la pratique ça met du temps à sécher après chaque utilisation. Mais ça dépend bien sûr de la matière utilisée. Avec des collants, le séchage est plus rapide, mais ça donne une lavette pas du tout absorbante. 8rB a testé pour toi!

    https://www.eco-blog.fr/2019/07/tawashi-jette-leponge/

    Sur le blog d'Aline Gubri, tu trouveras plein d'idées intéressantes, comme dans ces articles :

    https://consommonssainement.com/2020/02/15/fiche-plastique-caches/

    https://consommonssainement.com/2018/07/29/cosmetiques/